Prendre l'avion

Une chose est relativement pénible, vivre avec un gars ou une fille qui a peur de l’avion. Car fini les vacances découvertes à l’autre bout de la terre, et vive les bouchons pour partir dans le sud de la France. C’est l’enfer. De nombreuses personnes ont peur en avion car elles ne comprennent pas ainsi qu’un aéronef de diverses centaines de tonnes peut s’envoler dans les airs sans se détruire. Il est important de rappeler divers lois aérodynamiques afin de vous expliciter comment opère un aéroplane. La première loi aérodynamique est la portance. Ainsi la portance est une loi simpliste, que l’on observe aussi sur l’avion qu’autant les oiseaux. Dès que l’aéronef accroit sa vitesse, l’air passe au dessus, et sous l’aile. L’air qui va au dessus de l’aile est plus rapide que l’air défilant sous celle-ci, générant ainsi un effet de portance. La caractéristique est que l’avion est donc tiré vers le ciel. L’air navigue plus rapidement au dessus de l’aile à cause de son allure arrondie. La portance qui entraine l’avion vers le haut, se contrebalance à la densité de l’aéronef qui le l’entraine vers le bas. De fait plus la rapidité est intense – plus exactement plus la amplitude de vitesse est forte, plus la sustentation est élevée, retenant l’avion dans le ciel. Les propulseurs sont ainsi considérables, puisque ce sont les turbines qui permettent de faire aller l’avion et de générer ce phénomène de sustentation. Une autre peur commune est celle de croire que si les propulsions tombent en panne, l’aéroplane tombera vers le sol. Il s’agit d’une hypothèse plutôt inhabituelle, mais si l’aéroplane ne fonctionne qu’avec un moteur ; pourquoi pas du fait d’un feu, le propulseur sera désengagé par le pilote, et l’aéronef continuera son chemin avec une turbine, qui est amplement satisfaisant pour continuer de voler. Dans l’idée encore plus rarissime dans laquelle les deux turbines défaillent, l’avion, à cause de son aérodynamique et au caractéristique de portance, volera pendant 20mn à peu près sur une longueur de deux cent kilomètres, deux cent cinquante kilomètres, ce qui est abondamment satisfaisant pour identifier un lieu d’atterrissage. Sur les gros aéroplanes qui disposent de 4 moteurs, il est extraordinaire que tous les moteurs s’arrêtent en même temps. Enfin, les ailes. Quelques voyageurs s’inquiètent de voir la voilure se fléchir, notamment en situation de perturbations. Les ailes sont conçues pour s’incurver. Source : Simulateur de vol.