Brexit or not Brexit

La deuxième conférence sur le Brexit était assemblée à Londres la semaine dernière. Les dirigeants de l'Union européenne ont accepté à l'unanimité les démarcations administratrices pour les prochaines conférences du Brexit, ouvrant la voie à trois ans de conversations avec l'administration de la GB sur les finances et le commerce européen. "L'unité en action", a avancé le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, sur Facebook, en affirmant que les 27 pays de l'Union européenne ont composé la diplomatie de discussion en moins de 15 minutes lors d'une conférence à Londres. Les dirigeants ont avancé qu'ils étaient alliés dans leur approche de Brexit et que le Royaume-Uni ne serait pas admise à être mieux assise en dehors de l'Union qu'à l'intérieur. Le gouvernement de l'Angleterre Thérèse May a été alerté qu'il devra accorder de contrôler financièrement et de dénouer les droits des individus avant que l'Union européenne n'accepte aux discussions de se tourner vers un futur acte commercial. Le message commun a souligné le sentiment dans les capitales continentales qu'ils ont le dessus en négociant la sortie du Royaume-Uni. Le secrétaire de du Royaume-Uni, Paul Tuch, a déclaré aujourd'hui que les deux parties étaient maintenant claires et que les conversations seront «difficiles et parfois même conflictuelles». Il a prévenu que certaines personnes de Commission européenne et du Royaume-Uni essayaient de les saper. L'administration de May a manifesté sa volonté de se prononcer sur des questions clés concernant la finance, le commerce et l'immigration. Les concessions britanniques signifient que les fonctionnaires de l'Union européenne ont de plus en plus d'espoir que May se rendra compte que les termes de Brexit seront fixés par eux plus qu'elle. Le besoin du Royaume-Uni d'être pragmatique dans le démantèlement de 43 ans d'adhésion a été mis en avant cette semaine par l'avertissement de la chancelière allemande Angela Merkel selon lequel le gouvernement de May ne devrait pas être illusoire que l'Union européenne soit amicale. Les pourparlers doivent commencer après l'élection du 8 juin de de l'U.K. La rédaction de la stratégie au cours du mois écoulé s'est nettement précisée, ont déclaré les diplomates de l'Union européenne à Bruxelles. Il en résulte une position commune basée sur l'assurance que la Grande-Bretagne paie un prix pour partir et que son départ n'est pas si facile que d'autres seront appuyés à suivre.Pour plus d'informations, allez sur le site de l'organisation du séminaire à Londres et trouvez toutes les informations.